Le Holga est un appareil photo destiné a utiliser des films 120 ou 220 aussi appelés moyen format qu’il est assez facile de se procurer dans n’importe quelle boutique photo. Il est toutefois possible d’utiliser des films 135 en bricolant un peu Holga (Holga mode 135).
Sachant que Holga n’est pas équipé d’une cellule pour mesurer la lumière, il qu’elle ne comporte que deux diaphragmes il est important de bien choisir la sensibilité du film à utiliser en fonction de la quantité de lumière environnante.

En N&B il existe plusieurs bon films, tell que le Ilford HP5, le Kodak TMAX et TRIX, le Fuji ACROS et le Fomapan qui est très bon marché disponible via le net www.fotoimpex.de. Je vous deconseille fortement les films Lucky SHD. Les films mentionnés ont l’avantages d’avoir une grandes latitudes d’exposition, ils encaissent bien la surexposition ou la sous-exposition.
Par temps ensoleillé il est judicieux d’utiliser des films à faibles sensibilités soit 100iso. Quand le ciel se couvre ou pour des prises de vues en intérieurs ou de nuit, passer à des films plus sensibles (400iso). Le 400iso est le plus souvent employé il est assez polyvalent et convient bien à la majorité des situations. Il est aussi possible d’utiliser des films à grosses sensibilités. Soit en utilisant des films 3200iso disponible chez Ilford et Kodak, qui sont assez onéreux, soit en faisant des traitements poussés. Le traitement poussé signifie exposer une pellicule de 400iso, (comme la TRIX de Kodak ou la HP5 de Ilford qui encaisse bien ce genre de traitement) à 3200iso. Cela nécessite des manipulations au niveau des chimies. Si vous ne développé pas vos films vous même, indiqué le à votre labo. Il est important de savoir que plus un film augmente en sensibilité pour sa latitude est faible. Il faut donc faire attention à exposer correctement le film, ce qui n’est pas évident avec Holga. Il existe, notament chez Kodak, des films N&B à processus C41, qui sont donc destinés à des chimies couleurs mais qui garde le rendu N&B.
En couleur, c’est la même chose pour choix de la sensibilité, à noté qu’il existe du 200iso contrairement en N&B.
En diapositive, la tache se complique car cette dernière ne tolère pas les erreurs d’exposition (latitude à un diaphragme prés) contrairement aux films négatifs. Il faut donc être prudent et précis. Il est pratique d’avoir avec soi une petit cellule ou l’on peut vérifié l’exposition.
Il existe plusieurs films recommandables en diapo, chez Fuji le Velvia et le Provia et chez Kodak toute la gamme «E» dont le E100VS qui sature les couleurs vives. En diapositive il est possible de faire des traitements croisés, qui consiste à développé un film diapositive, normalement traité dans le l’E6, dans des chimies pour négatif couleur appelé C-41.
Dans la plupart des bons laboratoires cette manipulation est possible, elle a tendance à saturer fortement les couleurs et à affaiblir le piqué.

Web : Ou acheter ses films ?
www.digit-photo.com/
www.fotoimpex.de (pour l’achat de films Fomapan)
www.mx2.fr/acatalog
www.ebay.fr

This entry was posted on Monday, June 20th, 2005 at 2:10 pm and is filed under Technique. You can follow any responses to this entry through the RSS 2.0 feed. Both comments and pings are currently closed.